Le petit prince a dit, Christine Pascale
Le film raconte l’histoire d’une famille dont le personnage principal s’appelle Violette, elle a dix ans et souvent mal à la tête ; son père, Adam, est chercheur dans un laboratoire ; sa mère, Mélanie, est comédienne. Ils sont divorcés mais montrent toujours des signes affectifs entre eux. Plus tard, ils apprennent qu’elle a une tumeur au cerveau, irréversible. L’envie de cette petite fille est de réunir ses parents, et que son père quitte enfin sa belle-mère qu’elle déteste. Le film raconte principalement l’histoire d’amour d’un père et de sa fille, la tournure que leur vie prend, jusqu’où le père est capable d’aller par amour pour sa fille.
Le film ne m’a pas paru très triste car on ne voit pas Violette dans des états critiques et on ne la voit pas mourir. Par contre, il y a des scènes émouvantes comme quand elle demande à son père quand elle va mourir alors qu’il ne lui a pas dit qu’elle était malade, elle le comprend toute seul pendant la scène où elle est allongée dans la montagne.
La réaction du père m’a paru logique et belle, il assure une belle fin de vie à sa fille en l’emmenant loin des hôpitaux, du stress de la vie quotidienne et fait preuve de courage.
L’étude en classe m’a permis de comprendre beaucoup de scènes ou de petits détails du film.
Par exemple, sa tumeur est représentée par un papillon noir sur la radio, et on retrouve un même papillon dans une autre scène. J’ai compris aussi pourquoi la réalisatrice avait choisi une petite ronde plutôt qu’une petite fille jolie, son but pour le film n’était pas d’en faire un film tragique dans lequel on pleure à chaque scène en voyant l’enfant dans des états sinistres, mais de faire un film émouvant qui nous montre simplement l’amour d’un père qui prend la décision d’aimer sa fille jusqu’au bout en lui assurant une belle fin.
Le père prend une bonne décision, même s’il la prend sur un coup de tête. J’avais déjà ce point de vue en sortant de la projection.